Vie de Corky en bassin principal

L'eau était bonne, froide, avec cette chaleur, elle me rafraichissait. Il devait etre tard quand j'ai ouvert les yeux, le soleil était déjà haut dans le ciel.
Un groupe de personne étaient aux vitres, les spectacles ne commenceraient que quand le parc auraient trouver des soigneurs.
En attendant les gens venaient me voir.
J'aime bien aller m'approcher de la vitre, ils me regardent avec de grands yeux ronds.
Je remontais à la surface pour respirer. Et m'etirait en sautant.
Ah un jour de plus seule.
Eh mais ou est le petit ?
L'heure du repas approché, et je vis la femme qui me donner à manger qui s'approchait. J'en oublié le petit Trua et approchait.
J'ouvris grand la bouche, et degustais les poissons qui arrivait dans ma bouche.
Miam !
Quand ce fut finis, je me mis à apeller le petit Trua, en poussant un cri d'appel.

La faim me réveilla et je sentie que si je ne mangeai bientôt, je serai très mal.
Heureusement pour toi, la dame qui m'ammenait le poisson, était assise et attendait. J'ouvris la bouche et me delectais de ce festin.
Du thon bien gros et bien gras, miam.
Le petit Trua n'était plus là, etait-ce lui aussi une orque qui était partie ?
Le bassin hopital et l'annexe était fermé, je ne pouvais pas y acceder, peut etre s'y trouvait-il ...
Je l'esperais, car j'avais vraiment decidé de m'occuper de se bout de chou.
Je l'apellai mais il ne répondait pas.
J'aperçu deux pattes qui nageait dans l'eau, je remontai à la surface et découvrais un oiseau.
Je nageai rapidement vers l'animal et mon instin de chasse pris le dessus, en quelques secondes, le corps de l'oiseau gisait sur l'eau, mort.

J'ouvris mes yeux et remontai immediatement à la surface. L'air frais du matin me fit du bien.
Je savourai les poissons que la poissoniere me donnait, attendant avec impatience le prochain.

Je sautai hors de l'eau pour m'etirai. Un petit splash.

Savoir que Taima et Valentin était tout près de moi, me rendit si heureuse.

8h00
La brise fraîche me brula un peu la gorge, mais rapidement je m'y habituai . Je nageai un peu pour m'étirait, et après mon petit déjeuner bien copieux ce matin, je décidai de descendre aux vitres. Une petite fille, avec un trou entre les dents me regardaient . Je fis des bulles, et elle se mit à rire. Entousiasthe je continuai mes petites cloweries en ouvrant la bouche, en lui faisant "coucou". Aussitot la fille, qui rigolait, colla sa tête à la vitre, et je pus la voir de plus près. C'était trop les humains quand même. Je voyais des grandes personnes que je supposais être ses parents qui la prenaient en photos. Je fis alors ma star, et continuai mes clowneries pour amuser la galerie. Les gradins étaient presque vides, les autres gens étaient des habitués, un petit groupe de filles pas bien grandes, adolscentes je pense. Qui venait souvent aux vitres, parlaient avec les soigneurs, mais jamais elle n'était venue sur la plate forme, pourtant j'aimerai bien voir un peu plus près leurs têtes un peu. Mais pour le moment, je me contentai de les voir aux vitres. Cependant, j'avais mes préférences, une fille avec des cheveux oranges, avec des taches de rousseurs, ses cheveux étaient parfois très lisses et parfois très frisés ! Elle était grande, et très très belle. Je faisais souvent la folle avec elle aux vitres, elle m'aimait bien je crois. En tout cas elle venait tout le temps vers moi. Je la voyais elle était en haut dans les gradins, elle ne semblait pas bien aujourd'hui. Elle était recrovillée. Alors j'arrêtai mes macaqueries et j'allais en face d'elle, lorsqu'elle m'apercut elle se décida à descendre, heureusement la petite ne me rejoint pas. La rousse s'approcha. Elle posa sa main contre la vitre, et elle me sourit nonchalament. Je tentai de la faire rire, mais non elle ne rit pas. Alors j'attendai avec elle, sa main était posée tel que si il n'y avait pas de vitre, elle serait sur mon rostre. Je remontai parfois pour respirer et revenait au même endroit, sa main sur mon rostre. Je l'aimai beaucoup elle. Elle ne me parlait pas beaucoup, juste elle riait devant moi. Mais aujourd'hui, elle murmura quelques choses de très bizard, car c'était mon nom . "Corky". Je la regardai, elle pleurait. Mais que se passait-il ?
Elle s'en alla ensuite.